dimanche 15 février 2009
Rétro vision sur le Vendredi de poésie du 13 février
Ayant pour thématique « Regards sous observation », la dernière édition des Vendredis de poésie (VdP) a su encore une fois combler les amants de la poésie venus en grand nombre.
Permettez-nous de vous offrir une petite visite guidée de ce rendez-vous avec quelques photos glanées dans celles qu’a gentiment prises Claude Antar au cours de la soirée.
L’Avant-scène
Le rôle de « Brise-glace » ce mois-ci fut assumé par l’humoriste Roger Mariage qui dérida l’assistance en provoquant des sourires et des rires complices.
Ensuite, Stéphane Marcoux lançait sa plaquette Sous les rideaux de février par une brève lecture… Publiée aux éditions Les Croque-mots, une cellule d’édition du Tremplin d’actualisation de poésie (TAP), la plaquette est la 21ème parution produite par l’organisme professionnel voué à la poésie sous toutes ses formes.
Première partie
Puis la première partie (d’une durée d’environ quarante minutes) avec ses quatre invités :
Michèle Blanchet (Québec),
Paul Dallaire (Trois-Rivières),
Catherine Fortin (Saint-Jean-Port-Joli)
et Jean Sioui (Québec),
nous a offert un véritable kaléidoscope de visions poétiques du monde.
Je ne me hasarderais pas à tenter de décrire ou de résumer davantage : il fallait y être, il fallait le vivre, pour alimenter son propre album intérieur.
La grande scène libre
Si je parlais de kaléidoscope à propos de la première partie, que puis-je dire de la scène libre ? Feu d’artifice ? En tout, 15 personnes y ont participé, respectant toutes la limite de 3 minutes pour chaque prestation. Alors, question variété, nous sommes bien servis, dans le ton, le style, le propos, les émotions… Rappelons que la scène libre aux VdP constitue une tribune d’une rare qualité d’écoute qui attire en conséquence de nombreux adeptes parmi les poètes.
Ainsi, de mois en mois, nous retrouvons avec plaisir quelques poètes habitués. Hommes, femmes, de tous âges ; tant expérimentés que néophytes ; ceux qui font dans la recherche fondamentale, comme ceux qui s’adonnent au slam. Et à l’instar de chaque soirée, vendredi dernier la scène libre a accueilli également quelques poètes que l’on voit moins souvent et d’autres qu’on a pu découvrir pour la première fois. Le tout, comme d’hab présenté dans une ambiance conviviale, animée de façon plaisante et sans chichi.
En onze années d’existence, les VdP se sont taillés une place d’honneur dans le cœur de ceux et celles qui ont eu la bonne idée de venir tenter l’expérience lors d’une soirée… Le terme est bien choisi, car ces rendez-vous mensuels à Québec offrent davantage que des spectacles de poésie. C’est bien à une expérience d’échanges sur la base de la poésie, à laquelle sont conviés les spectateurs mois après mois.
Prochain rendez-vous : vendredi 13 mars, qui sera inscrit dans le cadre du Printemps des poètes.
Par André Marceau
Photos : Claude Antar
Permettez-nous de vous offrir une petite visite guidée de ce rendez-vous avec quelques photos glanées dans celles qu’a gentiment prises Claude Antar au cours de la soirée.
L’Avant-scène
Le rôle de « Brise-glace » ce mois-ci fut assumé par l’humoriste Roger Mariage qui dérida l’assistance en provoquant des sourires et des rires complices.
Ensuite, Stéphane Marcoux lançait sa plaquette Sous les rideaux de février par une brève lecture… Publiée aux éditions Les Croque-mots, une cellule d’édition du Tremplin d’actualisation de poésie (TAP), la plaquette est la 21ème parution produite par l’organisme professionnel voué à la poésie sous toutes ses formes.
Première partie
Puis la première partie (d’une durée d’environ quarante minutes) avec ses quatre invités :
Michèle Blanchet (Québec),
Paul Dallaire (Trois-Rivières),
Catherine Fortin (Saint-Jean-Port-Joli)
et Jean Sioui (Québec),
nous a offert un véritable kaléidoscope de visions poétiques du monde.
Je ne me hasarderais pas à tenter de décrire ou de résumer davantage : il fallait y être, il fallait le vivre, pour alimenter son propre album intérieur.
La grande scène libre
Si je parlais de kaléidoscope à propos de la première partie, que puis-je dire de la scène libre ? Feu d’artifice ? En tout, 15 personnes y ont participé, respectant toutes la limite de 3 minutes pour chaque prestation. Alors, question variété, nous sommes bien servis, dans le ton, le style, le propos, les émotions… Rappelons que la scène libre aux VdP constitue une tribune d’une rare qualité d’écoute qui attire en conséquence de nombreux adeptes parmi les poètes.
Ainsi, de mois en mois, nous retrouvons avec plaisir quelques poètes habitués. Hommes, femmes, de tous âges ; tant expérimentés que néophytes ; ceux qui font dans la recherche fondamentale, comme ceux qui s’adonnent au slam. Et à l’instar de chaque soirée, vendredi dernier la scène libre a accueilli également quelques poètes que l’on voit moins souvent et d’autres qu’on a pu découvrir pour la première fois. Le tout, comme d’hab présenté dans une ambiance conviviale, animée de façon plaisante et sans chichi.
En onze années d’existence, les VdP se sont taillés une place d’honneur dans le cœur de ceux et celles qui ont eu la bonne idée de venir tenter l’expérience lors d’une soirée… Le terme est bien choisi, car ces rendez-vous mensuels à Québec offrent davantage que des spectacles de poésie. C’est bien à une expérience d’échanges sur la base de la poésie, à laquelle sont conviés les spectateurs mois après mois.
Prochain rendez-vous : vendredi 13 mars, qui sera inscrit dans le cadre du Printemps des poètes.
Par André Marceau
Photos : Claude Antar
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